Mensis November, slachtmaand, bloedmaand, smeermaand, reuzelmaand
Machteld Roede
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Versie december 2022, herzien oktober 2024
November gedichten
First winter rain ―
even the monkey
seems to want a raincoat.
Matsuo Bashō (1644–1694), renga en haiku gedichten[1]
The last rose of summer
‘Tis the last rose of Summer,
Left blooming alone;
All her lovely companions
Are faded and gone;
No flower of her kindred,
No rose-bud is nigh,
To reflect back her blushes
Or give sigh for sigh!
I’ll not leave thee, thou lone one,
To pine on the stem;
Since the lovely are sleeping,
Go sleep thou with them.
Thus kindly I scatter
Thy leaves o’er the bed
Where thy mates of the garden
Lie scentless and dead.
So soon may I follow,
When friendships decay,
And from Love’s shining circle
The gems drop away!
When true hearts lie withered,
And fond ones are flown,
Oh! who would inhabit
This bleak world alone?
Thomas Moore (1779–1852; 1805[1b])
November
No sun — no moon!
No morn — no noon —
No dawn — no dusk — no proper time of day —
No sky — no earthly view —
No distance looking blue —
No road — no street — no “t’other side the way” —
No end to any Row —
No indications where the Crescents go —
No top to any steeple —
No recognitions of familiar people —
No courtesies for showing ‘em —
No knowing ‘em! —
No travelling at all — no locomotion,
No inkling of the way — no notion —
“No go” — by land or ocean —
No mail — no post —
No news from any foreign coast —
No Park — no Ring — no afternoon gentility —
No company — no nobility —
No warmth, no cheerfulness, no healthful ease,
No comfortable feel in any member —
No shade, no shine, no butterflies, no bees,
No fruits, no flowers, no leaves, no birds, —
November!
Thomas Hood (1799-1845)
Novembre
Quand l’Automne, abrégeant les jours qu’elle dévore,
Éteint leurs soirs de flamme et glace leur aurore,
Quand Novembre de brume inonde le ciel bleu,
Que le bois tourbillonne et qu’il neige des feuilles,
Ô ma muse! en mon âme alors tu te recueilles,
Comme un enfant transi qui s’approche du feu.
Devant le sombre hiver de Paris qui bourdonne,
Ton soleil d’orient s’éclipse, et t’abandonne,
Ton beau rêve d’Asie avorte, et tu ne vois
Sous tes yeux que la rue au bruit accoutumée,
Brouillard à ta fenêtre, et longs flots de fumée
Qui baignent en fuyant l’angle noirci des toits.
Alors s’en vont en foule et sultans et sultanes,
Pyramides, palmiers, galères capitanes,
Et le tigre vorace et le chameau frugal,
Djinns au vol furieux, danses des bayadères,
L’Arabe qui se penche au cou des dromadaires,
Et la fauve girafe au galop inégal!
Alors, éléphants blancs chargés de femmes brunes,
Cités aux dômes d’or où les mois sont des lunes,
Imans de Mahomet, mages, prêtres de Bel,
Tout fuit, tout disparaît : — plus de minaret maure,
Plus de sérail fleuri, plus d’ardente Gomorrhe
Qui jette un reflet rouge au front noir de Babel!
C’est Paris, c’est l’hiver. — À ta chanson confuse
Odalisques, émirs, pachas, tout se refuse.
Dans ce vaste Paris le klephte est à l’étroit:
Le Nil déborderait: les roses du Bengale
Frissonnent dans ces champs où se tait la cigale:
A ce soleil brumeux les Péris auraient froid.
Pleurant ton Orient, alors, muse ingénue,
Tu viens à moi, honteuse, et seule, et presque nue.
— N’as-tu pas, me dis-tu, dans ton cœur jeune encor
Quelque chose à chanter, ami ? car je m’ennuie
A voir ta blanche vitre où ruisselle la pluie,
Moi qui dans mes vitraux avais un soleil d’or!
Puis, tu prends mes deux mains dans tes mains diaphanes:
Et nous nous asseyons, et, loin des yeux profanes,
Entre mes souvenirs je t’offre les plus doux,
Mon jeune âge, et ses jeux, et l’école mutine,
Et les serments sans fin de la vierge enfantine,
Aujourd’hui mère heureuse aux bras d’un autre époux.
Je te raconte aussi comment, aux Feuillantines,
Jadis tintaient pour moi les cloches argentines:
Comment, jeune et sauvage, errait ma liberté,
Et qu’à dix ans, parfois, resté seul à la brune,
Rêveur, mes yeux cherchaient les deux yeux de la lune,
Comme la fleur qui s’ouvre aux tièdes nuits d’été.
Puis tu me vois du pied pressant l’escarpolette
Qui d’un vieux marronnier fait crier le squelette,
Et vole, de ma mère éternelle terreur!
Puis je te dis les noms de mes amis d’Espagne,
Madrid, et son collège où l’ennui t’accompagne,
Et nos combats d’enfants pour le grand Empereur!
Puis encor mon bon père, ou quelque jeune fille
Morte à quinze ans, à l’âge où l’oeil s’allume et brille.
Mais surtout tu te plais aux premières amours,
Frais papillons dont l’aile, en fuyant rajeunie,
Sous le doigt qui la fixe est si vite ternie,
Essaim doré qui n’a qu’un jour dans tous nos jours.
Victor Hugo (1802-1885)[3]
Mois de novembre
Captif de l’hiver dans ma chambre
Et las de tant d’espoirs menteurs,
Je vois dans un ciel de novembre,
Partir les derniers migrateurs.
Ils souffrent bien sous cette pluie:
Mais, au pays ensoleillé,
Je songe qu’un rayon essuie
Et réchauffe l’oiseau mouillé.
Mon âme est comme une fauvette
Triste sous un ciel pluvieux:
Le soleil dont sa joie est faite
Est le regard de deux beaux yeux:
Mais loin d’eux elle est exilée:
Et, plus que ces oiseaux, martyr,
Je ne puis prendre ma volée
Et n’ai pas le droit de partir.
François Coppée (1842-1908)[5]
Il fait novembre en mon âme
Rayures d’eau, longues feuilles couleur de brique,
Par mes plaines d’éternité comme il en tombe!
Et de la pluie et de la pluie ― et la réplique
D’un gros vent boursouflé qui gonfle et qui se bombe
Et qui tombe, rayé de pluie en de la pluie.
― Il fait novembre en mon âme ―
Feuilles couleur de ma douleur, comme il en tombe !
Par mes plaines d’éternité, la pluie
Goutte à goutte, depuis quel temps, s’ennuie,
― Il fait novembre en mon âme ―
Et c’est le vent du Nord qui clame
Comme une bête dans mon âme.
Feuilles couleur de lie et de douleur,
Par mes plaines et mes plaines comme il en tombe ;
Feuilles couleur de mes douleurs et de mes pleurs,
Comme il en tombe sur mon coeur !
Avec des loques de nuages,
Sur son pauvre oeil d’aveugle
S’est enfoncé, dans l’ouragan qui meugle,
Le vieux soleil aveugle.
― Il fait novembre en mon âme ―
Quelques osiers en des mares de limon veule
Et des cormorans d’encre en du brouillard,
Et puis leur cri qui s’entête, leur morne cri
Monotone, vers l’infini !
― Il fait novembre en mon âme ―
Une barque pourrit dans l’eau,
Et l’eau, elle est d’acier, comme un couteau,
Et des saules vides flottent, à la dérive,
Lamentables, comme des trous sans dents en des gencives.
― Il fait novembre en mon âme ―
Il fait novembre et le vent brame
Et c’est la pluie, à l’infini,
Et des nuages en voyages
Par les tournants au loin de mes parages
― Il fait novembre en mon âme ―
Et c’est ma bête à moi qui clame,
Immortelle, dans mon âme !
Emile Verhaeren (1855–1916)[7]
Chevaux de frise
Pendant le blanc et nocturne novembre
Alors que les arbres déchiquetés par l’artillerie
Vieillissaient encore sous la neige
Et semblaient à peine des chevaux de frise
Entourés de vagues de fils de fer
Mon cœur renaissait comme un arbre au printemps
Un arbre fruitier sur lequel s’épanouissent
Les fleurs de l’amour
Pendant le blanc et nocturne novembre
Tandis que chantaient épouvantablement les obus
Et que les fleurs mortes de la terre exhalaient
Leurs mortelles odeurs
Moi je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine
La neige met de pâles fleurs sur les arbres
Et toisonne d’hermine les chevaux de frise
Que l’on voit partout
Abandonnés et sinistres
Chevaux muets
Non chevaux barbes mais barbelés
Et je les anime tout soudain
En troupeau de jolis chevaux pies
Qui vont vers toi comme de blanches vagues
Sur la Méditerranée
Et t’apportent mon amour
Roselys ô panthère ô colombes étoile bleue
Ô Madeleine
Je t’aime avec délices
Si je songe à tes yeux je songe aux sources fraîches
Si je pense à ta bouche les roses m’apparaissent
Si je songe à tes seins le Paraclet descend
Ô double colombe de ta poitrine
Et vient délier ma langue de poète
Pour te redire
Je t’aime
Ton visage est un bouquet de fleurs
Aujourd’hui je te vois non Panthère
Mais Toutefleur
Et je te respire ô ma Toutefleur
Tous les lys montent en toi comme des cantiques d’amour et d’allégresse
Et ces chants qui s’envolent vers toi
M’emportent à ton côté
Dans ton bel Orient où les lys
Se changent en palmiers qui de leurs belles mains
Me font signe de venir
La fusée s’épanouit fleur nocturne
Quand il fait noir
Et elle retombe comme une pluie de larmes amoureuses
De larmes heureuses que la joie fait couler
Et je t’aime comme tu m’aimes
Madeleine
Guillaume Apollinaire (1880-1918)[8]
In Flanders Fields
In Flanders fields the poppies blow
Between the crosses, row on row,
That mark our place; and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce heard amid the guns below.
We are the Dead. Short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved, and were loved, and now we lie
In Flanders fields.
Take up our quarrel with the foe:
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high.
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow
In Flanders fields.
John McCrae (1872-1918; 1915)
De kollebloemen van Vlaanderen
Vlaanderens hart bloedt in zijn kollebloemen open,
tussen de kruisjes door, die, rij naast rij geplant,
het simpel teeken zijn, waaronder wij steeds hoopen,
dat onze milde dood de vree werd voor dit land.
Bij rooden dageraad volgden wij in het blauwe
den zoeten leeuwerik, wiens jubel werd gestoord
door schroot en vloek en klacht. Tot men ons kwam houwen
en op dit Vlaamsche veld ons streven werd gesmoord.
Gij, die nu na ons leeft, wij reiken u de toortsen,
verheft ze naar het licht, elk roepe een nieuwen held:
verbreekt gij onze trouw, dan wordt in wreedste koortsen
ons ‘t heilig verbod te slapen in dit veld:
in elke kollebloem zouden wij blijvend bloeden!
Rachel Schaballie, vertaling (1919)[10]
How happy I was If I could forget
How happy I was if I could forget
To remember how sad I am
Would be an easy adversity
But the recollecting of Bloom
Keeps making November difficult
Till I who was almost bold
Lose my way like a little Child
And perish of the cold.
Emily Dickinson, poem 898 (1830–1886)
Pity of the Leaves
Vengeful across the cold November moors,
Loud with ancestral shame there came the bleak
Sad wind that shrieked, and answered with a shriek,
Reverberant through lonely corridors.
The old man heard it; and he heard, perforce,
Words out of lips that were no more to speak—
Words of the past that shook the old man’s cheek
Like dead, remembered footsteps on old floors.
And then there were the leaves that plagued him so!
The brown, thin leaves that on the stones outside
Skipped with a freezing whisper.
Now and then
They stopped, and stayed there—just to let him know
How dead they were; but if the old man cried,
They fluttered off like withered souls of men.
Edgar Arlington Robinson (1869–1935)
My November Guest
My Sorrow, when she’s here with me,
Thinks these dark days of autumn rain
Are beautiful as days can be;
She loves the bare, the withered tree;
She walks the sodden pasture lane.
Her pleasure will not let me stay.
She talks and I am fain to list:
She’s glad the birds are gone away,
She’s glad her simple worsted grady
Is silver now with clinging mist.
The desolate, deserted trees,
The faded earth, the heavy sky,
The beauties she so ryly sees,
She thinks I have no eye for these,
And vexes me for reason why.
Not yesterday I learned to know
The love of bare November days
Before the coming of the snow,
But it were vain to tell he so,
And they are better for her praise.
Robert Frost (1874–1963)[12]
November
Het regent en het is November:
Weer keert het najaar en belaagt
Het hart, dat droef, maar steeds gewender,
Zijn heimelijke pijnen draagt.
En in de kamer, waar gelaten
Het daaglijksch leven wordt verricht,
Schijnt uit de troostelooze straten
Een ongekleurd namiddaglicht.
De jaren gaan zooals zij gingen,
Er is allengs geen onderscheid
Meer tusschen doove erinneringen
En wat geleefd wordt en verbeid.
Verloren zijn de prille wegen
Altijd November, altijd regen,
Altijd dit leege hart, altijd.
J.C. Bloem (1887–1966)[14]
Wichterlaidje bie de rommelpot
Mouder, zet mien kinnekapke op,
t’ Oavend komt mien vrijer;
Komt hai nait, ik hoal hom nait;
Neem hom in mien aarm nait:
Scheepkes van drij weken,
Loat de zaailtjes streken,
Hoalt de zaailtjes in de tòp,
Geeft mie wat veur de rommelpòt!
L. Doornbos (Laandjebloumen p. 48[15])
‘t Zwien
‘n Zwienekoopman ging op stap
Om zwienen op te koopen;
Ien ‘n stukje laand van Iesbrand Laps
Doar zag ‘e gounent loopen.
Hai ging er hēn, bekeek ze ais
En docht: “Dat ben’ gain minnen.”
Dou kuierde hai noar Iesbrand’s ploats
En stapte koamer binnen.
Moar Iesbrand zulf was nait ien hoes,
Dei was noar Drent aan ‘t joagen
En Iesbrand’s vrouw wis nait precies,
Wat zai veur ‘n zwien môs vroagen.
De koopman wòl veur ‘t dikste zwien
Nait meer as zóóveul geven;
Von boer dat goud, den was ‘t moar ‘t best,
As zai ‘t hom even schreven.
En ‘s annerdoags schreef Iesbrand Laps:
“Gij kunt het geld betalen:
“‘k Ben ‘t eens met verkoop van mijn vrouw,
“Kom dus het zwijn maar halen.”
P.J. Werkman (1880- …; Laandjebloumen p. 224[15])
When the Year Grows Old
I cannot but remember
When the year grows old—
October—November—
How she disliked the cold!
She used to watch the swallows
Go down across the sky,
And turn from the window
With a little sharp sigh.
And often when the brown leaves
Were brittle on the ground,
And the wind in the chimney
Made a melancholy sound,
She had a look about her
That I wish I could forget—
The look of a scared thing
Sitting in a net!
Oh, beautiful at nightfall
The soft spitting snow!
And beautiful the bare boughs
Rubbing to and fro!
But the roaring of the fire,
And the warmth of fur,
And the boiling of the kettle
Were beautiful to her!
I cannot but remember
When the year grows old —
October — November —
How she disliked the cold!
Edna St. Vincent Millay (1892-1950)[17]
November
Er hangen nog twee blaren
aan mijn esdoorn. Duizend andere zijn
rood geworden, alvorens dood.
Vergeten te kijken.
Vergeten gelukkig te zijn.
Nochtans had ik een tuin
waarin een stoel, en die stoel
had mij, en ik had een hand
en die hand had een glas
en mijn mond had meningen.
Alles had.
Alles had ons.
Herman de Coninck (1944-1997)[18]
Noten
[1] Translated by Robert Hass, © by owner, provided at no charge for educational purposes
[1a] Bron: Duyckinick, Evert A. (1873) Portrait Gallery of Eminent Men and Women in Europe and America. New York: Johnson, Wilson & Company.
[1b] Zie: The Last Rose of Summer
[2] Bron: Thomas Hood (1799-1845) — kunstenaar onbekend, uit: The Project Gutenberg EBook of The World’s Best Poetry, Volume 3, by Various
[3] Les orientales (1829)
[4] Bron: François Coppée – foto Frédéric Boissonnas
[5] Les mois (1878)
[6] Bron: Emile Verhaeren (1910) – foto Stefan Zweig
[7] Emile Verhaeren (2008) Poésie complète: Tome 6, Les Bords de la route; Les Vignes de ma muraille. Brussel: Editions Luc Pire
[8] © by owner. provided at no charge for educational purposes
[9] Bron: John Alexander McCrae (1872–1918), Canadees chirurg en luitenant-kolonel — fotograaf onbekend, uit: In Flanders fields, and other poems (1919), by Lieut.-Col. John McCrae, M.D., with an essay in character, by Sir Andrew Macphail. New York, London: G.P. Putnam’s Sons.
[10] Zie: Rachel Schaballie
[11] Bron: Robert Frost (1941) — foto Staff photographer, Library of Congress. New York
[12] Uit: A Boy’s Will (1915), Henry Holt and Company.
[13] Bron: J.C. Bloem (1887-1966) in zijn studeerkamer (1933?) — fotograaf onbekend, Letterkundig Museum
[14] Uit: (1931) Media vita, gedichten. Haarlem: Joh. Enschede en Zonen
[15] In: Ter Laan, K., G.W. Spitzen en G. Stel (1923, 1e druk) Laandjebloumen, bloemlezing uit de letterkundige voortbrengelen in de Groninger Volkstaal. p. 44. Groningen: Drukkerij-Uitgeverij C. Weis. Met ‘Veuraof door Geert Teis Pzn.’, pseudoniem van G.W. Spitzen (1864-1945). Geraadpleegd op 2022-12-02 dbnl.org/arch/laan005laan01_01/pag/laan005laan01_01.pdf
[16] Bron: Edna St. Vincent Millay — foto Arnold Genthe, Library of Congress, Washington DC
[17] Uit: Edna St. Vincent Millay (1917) Renascence and Other Poems. Dover Thrift editions.
[18] Uit: Vingerafdrukken, 1997